Plusieurs objectifs spécifiques sont envisagés au cours des deux années :
(1) La constitution d’une base de données SIG doit permettre de localiser les bornes et de réaliser des recoupements avec des couches de données spatiales et socio-économiques ; il s’agit d’identifier les logiques propres à chaque type d’espace (publics, privés, commerciaux...) dans le but d’apprécier dans quelle mesure celles-ci se recoupent et sont complémentaires.
(2) Le projet prévoit une phase d'enquête par questionnaires et entretiens semi-directifs auprès d’acteurs concernés par la thématique. Cette partie du travail permettra de confronter les politiques et pratiques avec les résultats du travail de terrain et des analyses SIG.
(3) Le projet intègre également une dimension internationale, appliquée à la Norvège, afin d'identifier les leviers qui ont permis à ce pays de mettre en place un véritable « système d’électromobilité ». In fine, le projet vise à produire des recommandations et tirer des enseignements des expériences plus avancées afin d'accompagner le développement en cours de l'électromobilité.